Karandras-City
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Feuille de personnage de
Michael Vito Corleone
Gangster Inconnu
Argent possédé
:
Beaucoup d'argent^^
Réputation
:
(3000/3000)
Histoire
:
Nous sommes en Avril 1998. "Tu es mon successeur. Je te bénis" Cette phrase était sortie des lèvres de Vincenzo Corleone, devant la totalité des membres de la Famille Corleone, peu après sa mort. Vito, deuxième fils de Vincenzo, était donc devenu le Don de New York, ainsi que Parrain de tous les membres de la Famille. Pauly Clemenza, fils de Peter Clemenza qui avait fondé sa propre Famille et avait légué son pouvoir à son premier fils peu avant sa mort, avait à nouveau rejoint la Famille Corleone pour des raisons familiales que nul n'a réussi à expliquer jusqu'à maintenant. Il était alors Caporal et Bras Droit de Vito. Le Consigliere était un jeune avocat ambitieux et expérimenté du nom de Antonio Cuneo. Vincenzo avait tout. Quand je dis tout, ce n'est pas pour rire, ce n'est pas un sens figuré ni une antiphrase. En passant par l'épicerie du coin de la rue jusqu'à arriver au casino "Treasure Island" ou encore la banque "Trust". Dieu sait pour quelle raison, il décida de tout quitter, de donner le tout à Clemenza, qui partagerait sûrement l'héritage avec le jeune Cuneo. C'est ainsi qu'il arriva à Karandras-City, seul avec un petit paquet d'argent, pour refaire sa vie. Si vous lui demandiez pourquoi cela, il ne vous répondra sous aucun prétexte. Ce que moi je sais, c'est que Vito est un homme de risques et d'action! Alors... Vous n'avez qu'à deviner! A Karandras, il a vite trouvé un bonheur que nul ne peut vraiment comprendre: il s'agit tout simplement du calme, Vito a en effet fuit le malheur, le bruit, la drogue, les problèmes, pour arriver dans un monde de calme et de bonheur. Il est vrai qu'il a un travail malhonnête évidemment, mais il ne subit plus les coups de téléphone, les regards et les arrière-pensées venant de sa propre famille. Vito finira par créer sa Famille à Karandras, et ce sera lui, le seul l'unique le puissant et influent que l'on salue à des kilomètres. J'ai récolté les mémoires de Vito Corleone, quelques mois plus tard: "Je n'ai pas peur... J'ai beau réfléchir, je n'ai pas peur, de toute facon je m'y attendais, depuis le tout début, je m'attendais à ces atrocités, si l'on puit les nommer ainsi. Quand je suis venu, j'ai même ressenti un brin de déception, en voyant que cette ville des lumières, des bruits et des couleurs chaleureux me souriait. Elle m'acceuillait avec un sourire réconfortant, presque rassurant, mais il ne l'était pas, pour moi. Je m'attendais en effet à un sourire dangeureux, un sourire énigmatique, terrorisant, celui qui ne nous donne plus tellement envie d'entrer, mais de s'enfuir. C'était un vendredi, je crois, que je suis arrivé. Ce jour-là est si peu marquant que je ne m'en souviens presque plus... Quand je suis entré, Karandras m'a ouvert la porte, et m'a souhaité la bienvenue. Mais c'était la seule à l'avoir fait. Jusqu'au jour d'aujourd'hui, j'ai toujours su que même Antonnio ne m'a jamais vraiment aimé. Lorsqu'il m'a dit d'entrer, j'étais très sûr de moi, je savais quoi faire et je maîtrisais bien l'hypocrisie. L'hypocrisie est le caractère qu'il faut le mieux maîtriser face à un Parrain de Famille si vous voulez l'impressioner... et plus tard le trahir. Je ne suis et n'ai jamais été un traître, mais je savais, je savais dès le premier regard, qu'il fallait l'être avec Antonnio. Car il finirait par me tuer si j'atteignais un titre d'assez grande renommée. Tous ses hommes de main n'étaient que très peu cultivés et intelligents. Ils exécutaient les ordres, rien d'autre. Moi, c'était différent. Il savait que j'étais intelligent, rusé, il savait que j'étais un pur Corleone. Si ce n'était pas moi qui le faisais, ce serait lui, alors je préfère ma vie à la sienne. Depuis le tout début, il a essayé de me faire croire qu'il m'appréciait beaucoup. Je savais que ce n'était pas le cas, mais je me taisais, je restais silencieux, attendant le moment opportun. Je n'avais aucun véritable associé, je ne faisais confiance à personne, j'étais admiré, détesté, mais personne ne m'approchait de trop près. Je savais depuis le début que je serais seul, un point c'est tout. C'était ma guerre, à personne d'autre. Antonnio comprendra. Le premier jour, comme je l'ai déjà dit, je n'avais éprouvé ni stress ni appréhension. Rien de tout cela. J'entrai dans la propriété, incognito, j'avais graissé la patte aux gardes et leur avais fait des éloges qu'ils avaient appréciées. J'allai vite derrière cette porte, et attendai, longtemps. Puis il me fit entrer. Un Parrain sait que derrière sa porte ne se cachent que les personnes de confiance! "Bonjour, monsieur Montelli" Nous discutâmes longtemps, les problèmes politiques et sociaux de la Famille étaient nombreux, et j'acquis la soit disant "confiance" de Montelli en l'orientant quelque peu dans ce qu'il devait faire... Il me placa soldat, je n'avais même pas du passer par le rang d'outsider. Les semaines s'écoulaient et mon nom circulait de plus en plus dans les rues de Karandras. Les primes se faisaient rares, car Montelli savait depuis le début que je pouvais le renverser. Mais les différents membres de la Famille devenaient admiratifs, et il se vit dans l'obligation de m'offrir quelques primes par ci par là pour ne pas les décevoir, et montrer qu'il était juste et démocratique. Seulement, il m'offrait des missions de plus en plus dangeureuses. Ca, personne ne pouvait le lui reprocher, et moi je me taisais. A trois reprises j'avais failli perdre la vie. J'avais perdu des hommes dans les guerres, et même les missions. 30kg de cocaine, 50kg d'héroine. C'était risqué. Antonnio ne se souciait aucunement de se mouiller complètement dans la drogue et l'illégal. Le dangeureux n'existait pas pour lui, puisque c'était moi qui faisais tout le travail, moi qui prenait tous les risques. J'avais perdu trois hommes dans cette transaction. Du jamais vu. Antonnio avait tout préparé à l'avance, ca c'était une tentative de meurtre, pas une simple mission, il ne s'attendait même pas à ce que je survive. Je ne lui en veux pas, il faisait son métier c'est tout. Pourtant je ne l'avais jamais trahi, bien que j'allais le faire tôt ou tard. Et il le confirmait de plus en plus. Ce jour-là, lorsque je suis entré pour la transaction avec les colombiens, les hommes de Montelli sont arrivés. Ils maîtrisaient la langue russe, mais je les avais déjà vus traîner autour de la propriété. Ils liquidèrent les colombiens, et trois de mes hommes. J'étais presque seul, mais je ne vous raconterai pas comment j'ai survécu. Un magicien ne dévoile pas tous ses secrets. Je pris la drogue et l'argent et m'en allai. Antonnio ne sut cacher son malheur à me voir vivant, mais je ne lui en veux pas, il faisait son travail... Sur cette mission il m'avait donné 6 000$. Le double du salaire d'un outsider, pour voler une voiture ou quelques grammes de drogue. Personne ne se manifestait car personne ne connaissait la véritable relation que j'entretenais avec lui, mais l'heure approchait. Ce n'était pas la seule mission ou je risquais ma vie, comme je l'ai déjà dit, et à nouveau, les membres de la Famille commencaient peu à peu à se manifester, parce que je n'avais pas de promotion, encore... Montelli se vit plus tard contraint de me nommer capo, c'est là que les complots et les guerres civiles commencèrent au sein de la Famille. Moi je n'osais jamais l'attaquer chez lui, avec sa femme et ses enfants, bien qu'il le faisait, lui. J'avais recruté une petite armée d'admirateurs au sein de la Famille. Ils m'étaient dévoués plus qu'à Antonnio lui même. Les fusillades se passaient lorsqu'il était dans un café avec ses hommes, lorsqu'il s'asseyait seul au bureau d'un de ses territoires, ou encore même lorsqu'il achetait des oranges. Pour moi c'était lorsque je dormais avec ma femme, dans ma chambre, ou encore lorsque je jouais avec mes enfants. Et pourtant nous entretenions toujours la même relation de respect minimum que tout le monde nous doit. Les fusillades étaient déclenchées par les russes ou les hispaniques, pas par nous... Jamais par nous! Lorsque le grand jour est arrivé, j'envoyai un seul homme pour l'assassiner. Il se faisait discret et efficace. J'avais attendu longtemps dans ma chambre et le soir, à 19h12min, l'homme est entré chez moi. "Il est mort avant que j'arrive, ce n'était pas moi" "Tant mieux" avais-je répondu. Au fond de moi j'étais presque rassuré. Et une joie intense hurlait dans mon estomac. Aujourd'hui lorsque je croise un ancien membre de la Famille dans la rue, il hurle "Per la Famiglia, Corleone". Ils hurlent tous qu'ils me veulent pour Parrain, mais j'hésite encore. On verra bien après tout..."
Carnet de conduite
:
(20/20)
Objectifs
:
Les objectifs sont atteints^^
Gang actuel
:
Mafia Italienne